Râââââ c’était bien ces petites vacances à la campagne.
Transformé tour à tour en Nicolas (the jardinier & ses framboisiers et autres petites grainouillettes), Fran Fine (for le neveu, 1 an tout rond, presque pas de dents et qui veut déjà se faire émanciper) ou Maïté (le premier qui ose faire une comparaison physique, je l’assassine à coups de mikado et les mikado, ça peut faire mal), plein du soleil, du Jet 27* (j’ai même appris que c’était pas du sirop de menthe mais de l’alcool), des urgences (6h et sans Carter malheureusement) puisque ma soeur de son extrême douceur légendaire s’est pété un doigt de pied contre une porte, des histoires familiales compliquées et un bulletin de vote (au moins grâce à cette élection, on a un sujet de discutions en plus du temps qu’il fait)
Mais bien content de revenir au bureau aujourd’hui tout de même ( ça y est, ça arrive la période de folie furieuse où on va crouler sous les papelards et qu’on va même avoir l’impression qu’on va mourir enfoui dessous). Bécasses que nous sommes nous ne nous plaindrons pas mais nous ne ferons pas des journées de 12-13h (faut quand même pas pousser même si c’est pour la République) comme une certaine amie (genre qui habite avec moi) que nous pourrons appeler cette semaine: ‘celle qui adorait se faire enc**** avec du gravier’ mais qui est néanmoins conviée à se prendre une petit cuite au Quetzal samedi soir puisque nous on aime les enculés !
* L’abus d’alcool peut faire mal aux cheveux, à consommer avec modération (pas plus d’un verre à la fois, après ça fait Sue Ellen)