C’était pas Meaux…

Mais c’était bien quand même… Nous étions donc dans un hameau nommé Courcelles. Grande maison, énorme pelouse à  l’arrière avec jardin, fruitiers et tout ce qu’on peut souhaiter à  une pelouse.. Manger sur la terrasse, bon, très bon… J’ai pris cela vraiment comme un petit moment de break, S. qui nous avait invités n’avait pas si tort…

Je confirme donc, il y a une vie après les cuites et les backroom. Le seul point commun que je retiendrai est que c’est meilleur quand c’est occasionnel… Je m’en tire avec une invitation proposée à  ma cop’ Margot (3 ans?) d’aller au Mc Do et au cinoche ensemble…

Meaux ?

Dans approximativement 2h30, je serais à  Meaux, enfin, dans une bourgade aux alentours de Meaux… Quoi? Kwaite, un samedi soir à  Meaux? Mais quelle boite ou bar y’a t-il là  bas?

Ben rien, pas de boite, pas de bar. Je pars faire une visite de courtoisie à  une ancienne collègue, et c’est dire combien je l’apprécie pour aller me perdre dans un coin pareil.. Ayant trouvé que Satanas (chef que j’aime toujours) avait l’air fatiguée et stressée, elle nous a proposé de venir nous ressourcer dans sa petite maison de campagne…

Par conséquent, le thème de la soirée sera: y’a-t-il une vie après les bitures en boite et les culs des backroom… Bilan demain…

L’homme de Kwaite

Y’a des gens qui arrivent sur mon blog en tapant comme mots clés ‘l’homme de Kwaite’…

D’une part, je me dis: quel est cet individu aux pensées incongrues? Si j’avais un homme, ça ferait longtemps que j’aurais étalé mon bonheur en place publique…

D’autre part, je me dis aussi: mais quel est cet individu merveilleux? Parce que c’est beau qu’il y ait encore des gens qui pensent que je puisse trouver tong à  mes orteils…

En l’espèce, non, y’a pas d’homme dans ma vie en ce moment… même si des fois, j’aimerais bien… et qu’il ne faut pas trop que je le clame sur tous les toits (bien joué de l’écrire ici) parce que j’ai quand même un standing à  tenir…

Par conséquent, voici la fin de ce billet d’humeur maussade…

Que fait la Cicciolina?

Deux hommes ont été arrêtés pour obscénité après s’être embrassés devant le Colisée, à  Rome, vendredi 27 juillet. Les carabiniers affirment que les gestes d’affection du couple allaient au-delà  du baiser, tandis que les associations de défense des droits des homosexuels crient à  la discrimination. Les faits se sont produits vendredi à  l’aube.Après avoir passé la nuit dans les bars gays d’une rue proche du Colisée, Roberto L. et Michele M., âgés respectivement de 27 et 28 ans, se sont embrassés, rapporte l’association Arcigay, qui a fourni un avocat au couple.

Ils ne faisaient pas « que s’embrasser », a pour sa part affirmé le colonel Alessandro Casarsa, responsable des carabiniers. Il a confirmé que les deux hommes avaient été maintenus en garde à  vue pendant environ 40 minutes, avant d’être relâchés.

Les carabiniers « ont agi parce qu’un couple était en train de commettre un acte obscène devant l’un des monuments les plus visités d’Italie », a assuré le colonel Casarsa. « Nous appliquons la loi de la même façon pour tous, hommes et femmes ».

S’ils sont reconnus coupables d’obscénité publique, les deux amoureux risquent jusqu’à  deux ans de prison. »Roberto et Michele n’ont fait que s’embrasser. Toutes les autres déclarations sont fausses », clame Arcigay dans un communiqué. Accusant la police de discrimination, l’association appelle à  une manifestation, un « kiss-in » public, jeudi prochain près du Colisée.

La communiste Vladimir Luxuria, premier député travesti italien, va demander au gouvernement de s’expliquer devant le parlement. « Il est inquiétant qu’un geste d’affection soit considéré comme un crime », a-t-elle déclaré au quotidien La Repubblica. (AP)

Oh quelle soirée !

Hier soir, pour changer un peu de nos coutumes, le zinzin’s band et coloc land décidèrent d’aller boire des bières au Quetzal… Ben oui, ça faisait au moins quinze jours que nous n’y avions pas mis les pieds…

Bref, pour changer aussi, après avoir déposé les gens au Noctambus, me voilà  parti pour l’Insolite avec la ferme intention de ne pas me mettre de cuite de la mort, histoire d’innover un peu. En l’occurrence, c’est cela qui m’a sauvé puisque j’y ai retrouvé MJGTGDP (Olivier quand le T9 du portable est activé) passablement éméché, que je trouve toujours aussi charmant (même si tu n’es pas de cet avis ma couille ). Cette fois, c’est moi qui lui ai fait découvrir ma maison.

Bé moi là  à  c’t’heure, j’ai la patate !

I got pas du tout le power

thumb_eads.thumbnail.jpgEt mes doutes se confirmèrent cet après midi au boulot… Je suis une tanche de la recherche…

Ne voulant pas déranger chef-que j’aime-mais-qu’on-couchera-jamais-ensemble (je sais c’est assez chiant à  dire mais au bout d’un moment, on y arrive) qui était en pleine période apathie, je me décide à  construire moi-même la réponse que je cherchais. Oui construire, parce qu’une réponse, pour qu’elle soit bonne, faut peser bien des arguments, trouver un argumentaire béton pour que, quand Satanas , mon CQJAMQOCJE -trop long à  écrire- me tombera dessus en me demandant où j’ai bien pu encore trouver une idée aussi saugrenue, bé pour pas me faire trucider, faut que j’assure mon anus…

Donc, revenons à  ma superbe recherche… un coup de Code Général des Impôts par ci, de Documentation de base, de questions-réponses de l’Assemblée Nationale (question 54032 sous la 9è législature pour ceux que ça intéresse), une heure plus tard, je commence à  comprendre comment rabaisser le caquet de la vilaine collègue qui m’avait poussé à  ce travail d’investigation. Putain une heure de perdue pour ça…

Quelques instants plus tard, une autre question me taraude; parti sur ma lancée et devant un chef toujours aussi apathique, je repars dans mes recherches tordues… 20 minutes plus tard, je craque et vais voir Roberts (oui parce qu’il y en a deux) soit Nath’ pour les plus intimes. Et elle nonchalamment ouvre ce putain de guide que je venais d’éplucher en long en large et en travers et me trouve la réponse en une demi seconde…

Vu mes talents d’investigations, c’est pas demain que je me taperais un expert… Ca c’est sur…

Limhaal

L’histoire sans fin… Un de mes films préférés vient de faire remonter la chaine TMC dans mon estime. Ce film qui a bercé mon enfance, j’en suis toujours autant fan, j’ai même encore pleuré avec la petite Impératrice quand Bastien ne comprend toujours pas que c’est lui le héros de cette histoire…

A ceux qui se demandent qui est Bastien, quel est encore ce film que j’idolâtre, voici un synopsis pompé honteusement sur Wikipedia. Et le clip tiré du film à  la fin chanté par Limhaal (cheveux! cheveux !)

Bastien Balthazar Bux est un jeune garçon d’une douzaine d’années. Un matin, poursuivi par une bande de gamins, il se réfugie dans une librairie. Après une altercation avec le libraire, vieil homme bourru qui n’aime pas les enfants, et à  la faveur d’un moment d’inattention, il vole un livre qui l’attire mystérieusement et s’en va en courant.

Il commence la lecture du livre volé, un roman intitulé L’Histoire sans fin. C’est l’histoire d’un monde fantastique, rempli de tout ce que l’imagination de l’homme peut produire . Immensément grand et merveilleux, ce monde nommé Le Pays fantastique est dirigé du haut de sa tour d’ivoire par une enfant fragile, la Petite Impératrice.

Or cette enfant est atteinte d’un mal étrange, qu’aucun médecin ne parvient à  guérir. Dans le même temps, le Pays fantastique est l’objet d’une grande menace qui semble liée à  cette maladie, grignoté par une catastrophe qui détruit tout sur son passage : le Néant. La Petite Impératrice charge alors un guerrier enfant du nom d’Atreju, chasseur des plaines de la lointaine Mer des Herbes, d’une mission vitale : trouver un remède pour elle et pour le pays.

Après une longue série d’aventure à  travers les vastes contrées du Pays fantastique, Atreju finira par découvrir que ce monde est créé par les rêves et l’imagination des hommes : il est aujourd’hui détruit par le Néant car les hommes ne rêvent plus. Pour guérir et sauver ainsi ce Pays fantastique, l’Impératrice n’a besoin que d’une chose : un nouveau nom, qui doit lui être donné par un enfant de la Terre.

Bastien mettra du temps à  comprendre que ce livre n’est pas comme les autres : effrayé, il se rend compte qu’au fil de la lecture il entre véritablement dans l’histoire et que l’enfant humain dont ils ont besoin, c’est lui. Il mettra du temps à  y croire puis à  s’impliquer, ne pouvant s’imaginer qu’un simple enfant timide comme lui peut avoir assez d’importance pour sauver un vaste monde. Il finira pourtant par le faire et il sauvera l’Impératrice.

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