je suis un homme au pied du mur
comme une erreur de la nature
sur la terre, sans d’autres raisons
moi je tourne en rond, je tourne en rond
je suis un homme et je mesure
toute l’horreur de ma nature
pour ma peine, ma punition
moi je tourne en rond, je trourne en rond
Quiche par Kitch
Slow à baise
Il fut un temps quand j’avais encore plein de cheveux, encore plein d’acné et que je m’habillais encore plus mal que maintenant. Avec mes amis, nous avions inventé le concept de slow à baise. Des slow tellement slow qu’ils donnaient envie de se rouler des pelles (oui même aux moches, un slow à baise c’est universel par essence).
Quoiqu’en écoutant cela (au moins ce teaser puisqu’il est encore hors de question que ce blog devienne une annexe du site de Zazie, je suis déjà dans un état d’orgasme quasi-permanent quand j’écoute Totem ), je me demande si cela ne serait pas plutôt à classer dans la catégorie slow post-rupture à écouter à fond les gamelles en regardant la pluie (ou la neige) tomber du ciel?
Les Monstroplantes débarquent
Diskor vient d’annoncer à Gillian que Flora allait devoir partir rejoindre son peuple. Quelle chiotte… Bref c’est quand même pas la fête au bureau…
D’autant que Jayce part en formation pendant 2 jours.
Que va faire Herc qui mène le bateau?
12h47
Voilà c’est fait… La sortie tant attendue (non pas l’album Totem de Zazie) mais celle avec mes collègues…
20h30: tout commença donc comme prévu, un petit jap’ parce que c’est la valeur sûre et des bières (ou du whisky et de la vodka pour certaines) au Couettzal. Arrivée de Nancy & Harry (ou Marcel c’est selon), re des bières, encore des bières. Tout se passait bien, nous décidâmes de partir au Tango.
Hélas, arrivé là bas, une bonne vieille queue comme on les déteste toutes. Et un patron fort aimable qui nous lance ‘je vous l’ai déjà dit, vous pouvez pas rentrer’ alors qu’on venait juste d’arriver. Changement de planning en urgence (tout en lançant une malédiction au Tango sur 24 générations et en me disant que vu la manière non élégante dont ma troupe s’était faite éconduire et que quand bien même j’adore cette boite et sa musique, ce n’est pas demain que j’y retournerai)
Taxis, deux taxis à 2h du mat’ à Paris, putain deux taxis et bé c’est pas facile à choper ces merdasses. Bref, 2h01, après avoir galéré (nous parlerons ici de distorsion temporelle due à mon énervement), nous voici parti pour notre boite électro favorite avec ma Couille. Le Rex.
On y entre, on paye (‘tain même pas de conso avec l’entrée, ça fait rien j’ai ma CB d’amour). Les gens commencent à être joyeux malgré la queue au vestiaire (c’était ça le thème de la soirée je pense). On danse, on boit du champ’, on danse, mes collègues tiennent merveilleusement bien la route, on danse, je bois, je danse avec ma couille, son chéri fait la tête, je danse, je bois. Nous décidons de partir quand les lumières se rallument et que mes collègues se sont avachi sur les canapés. Ah D&G c’était quand même marrant …
6h30, c’est l’heure de l’after. Mes coolègues rentrent chez eux, ma Couille et Marcel décident de me suivre chez Carmen depuis le temps qu’ils voulaient voir cela. Explosion de ma Couille après 10 minutes (la drogue c’est moche). Après son départ, je me suis laissé tripoter par tout ce qui bougeait histoire de m’occuper et pour m’empêcher de dire des conneries, j’ai roulé des pelles (ça m’occupait la bouche vu que j’avais plus de clopes non plus).
Je sors de chez Carmen, il fait jour, très jour, trop. Y’a des familles , des mioches qui se promènent. Merde, on est dimanche, c’est la promenade familiale par excellence. Je pue le tabac froid et l’alcool, j’ai mal aux yeux (pas au crane, c’est déjà ça) mais je suis heureux. Métro, correspondance, métro, bus. Douche, brossage de dents, déshabillez-moi et au lit. Je ferme les yeux en pensant ‘Merci les amis, c’était de la balle !’
Il est 12h47.
Quiche bénie
Merci Soeur Sourire
Rocky Horror Picture Show
Un petit best of (d’un autre côté y’a que du bon)
et un merci à Ramona de m’avoir fait découvrir ce monument cinématographique il y a des années.
Une flutasse siouplé –> retour vers le passé
Samedi 27/01: jour de gloire puisque jour de paie et de prime de rendement ( l’équivalent grosso merdo d’un demi treizième mois). Le mois de Février et la nouvelle vie qui va avec devait commencer ce jour.
Quelques heures dans la salle de bain afin de ne pas trop ressembler à un troll des bois puis départ avec N&N’s au resto avec juste le quart d’heure règlementaire de retard.
Japoniaisiries à manger, puis Pub pour cocktails et commencer la soirée Sue Ellen. Et là , voilà quoi? tout le monde était mort fatigué. Qu’à cela ne tienne je suis quand même sorti, seul (comme souvent d’ailleurs)
Arrivée à l’Inso, vodka-pomme, whisky-coca, clopes, clopes, clopes, très peu de pelles ( limitées strictement à une personne, les autres ne m’inspirant pas ce soir). Fini au Champagne parce que les bulles ça passe même quand t’as plus soif ou de place pour mettre de l’alcool dans ton gosier. Musique basique, efficace pour se trémousser. Rien de bien intéressant à part un ‘Toulouse on t’encule’ lancé tout de go à un groupe de toulousains en pleine réunion tupperware(c) dans les chiottes.
After chez Carmen (le lieu commun post-Inso pour moi). Trop d’hétéros, pas trop bu (cf. mes tickets de CB qui ont une meilleure mémoire que moi 😉 reparti à la maison avec la honte puisq’un pignouf écervelé a eu la merveilleuse idée de renverser son verre vers mon entre-jambes. Shame totale, il a fallu fuir pour éviter la honte nationale.
Février est donc le début d’une vie nouvelle puisque je n’ai pas couché chez l’autochtone et suis rentré seul…
Euh, j’peux revenir à ma vie de merde d’avant?
On y revient toujours…
Quelques perles glanées de ça de là pendant mes épisodes (re)vus de QAF:
_Ted a vraiment un grand cœur. Mais ici, personne ne s’intéresse à la taille de cet organe.
_ Pendant un instant, j’ai eu envie d’être lesbienne, moi aussi. Et puis, je me suis souvenu qu’il faudrait que je bouffe de la chatte, alors je me suis dit « Laisse tomber. »
_ Rêver est pour les gens qui aiment dormir. Je préfère être éveillé et baiser.
_ Comme si j’en avais quelque chose à foutre de ce que Dieu pense de moi. C’est plutôt lui qui devrait s’inquiéter de ce que je pense de lui. Dans cet univers froid et mort, nous sommes les seuls à savoir qu’il existe. Sans nous, il ne serait rien.
_ Ca me rappelle une scène d’Alien, l’un des plus grands films métaphoriques de tous les temps sur le Sida. Nos courageux éboueurs intergalactiques, dirigés par la super-gouine Ripley, sur qui tu as manifestement pris modèle, roupillent tranquillement dans leurs couchettes pendant leur long voyage de retour, quand soudain, le monstre réapparaît.
_ Quel genre d’homosexuel es-tu ? – Le genre qui baise des hommes.
Sinon, je vous raconterai mon week-end et mon début de semaine un peu plus tard… Suspense …
20 Minutes — Les microfilms
Quelques petits films d’anticipation sur le site de 20 Minutes…
Ma sélection : Pschiit, le jour où la blogosphère s’est dégonflée , Les derniers condamnés de la cigarette , La fièvre
Un petit faible pour celui sur la clope (et merde J-3, on fume où jeudi d’ailleurs? faut que je lance une enquête)