La Dolce Vita

Se peut-il qu’on oublie
Cette vie qu’on ne vit pas
Qu’on s’est pourtant promis

Point trop n’en faut…

Après une grisante course en scooter avec Biquette, de retour après un bon petit repas entre ami(e)s.Certains détracteurs me reprocheront de faire l’impasse de ma soirée de vendredi. Et bé oui, pour une fois, cette soirée restera dans sa première partie en tout cas mémorable et toute aussi exquise que le reste sera glauque une fois laché seul dans la nature (ville?).

Donc encore un petit moment de bonheur volé aux temps de récession, de bordel ambiant et d’oiseaux mourants, pas envie de parler non plus du gros bateau indien…

Allez une petite clope en dilettante, un café et demain, retour à  la vie d’adulte qui a désespéremment du mal à  me coller à  la peau.

J’ai un rêve

Juste écouter ‘le rêve du pêcheur’ de Voulzy, se laisser emporter par la musique et réellement rêver d’océan; se laisser porter, voguer au grè des paroles puis s’endormir heureux du voyage

Cliché

Quelques épisodes de Will & Grace avec du whisky coca (y’a plus de limo à  la maison) et je me décide à  tester mon super clavier extra-plat (putain si je pouvais avoir le ventre tout aussi plat pour le même prix)… Tout va bien, aucun nuage à  l’horizon. J’apprend mon nouveau boulot post-restructuratioin doucement et ça m’éclate. Je fais découvrir les joies de ma vie à  mes nouvelles collègues qui sont déjà  accros aux potins du lundi (quand je peux me souvenir de ce qui s’est passé le we…). Quelques sales nouvelles comme toute le monde, d’autres plus cruelles où l’on se rend compte que malgré tout, nous sommes devenus des adultes, d’autres plus heureuses: le lot quotidien du commun des parisiens.
Sinon, faut que je trouve une occupation pour ce week end parce que Nono parti pour quinze jours et je dois redevenir un noctambule solitaire (ca doit faire au moins deux semaines que je l’ai pas été trop dure la vie).
Allez, continuons la lutte, j’aurai le pas sur le whisky… quoique

Mais en tout cas, ce clavier c’est que du bonheur!!!

Cédric, heureux pour pas grand chose

De la balle

Bilan du jour: un commentaire sur ce blog, ça c’est de la balle. Manque plus que je sache qui est ce mystérieux rieur fou?
et un nouvel ami (qui rêve d’ailleurs), encore un gueux des plaines qui préfère s’entourer d’amis (moi je suis pas ami avec les gens avec qui je couche ou ai couché à  une exception près et donc exception déjà  prise!). Et bé, va courir la plaine sale bête, moi j’vais courir les concours et rester avec mon cercle d’ami qui est amplement suffisant (ah ce concours Mylhyène)

De toute façon c’est Ewan qui le dit ‘Come what may’

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et puis non je vais m’coucher. Le long billet ça sera pour plus tard!
Le billet où je raconte comment fortuitement j’ai fait la connaissance en une semaine d’une boite de transports aériens et d’une porte dans la gueule et comment je vais silloner demain matin les rues d’Asnières à  la recherche des chacaux qui essayeraient de nous feinter, moi et la petite entreprise dont je fais partie. On va faire les sherif avec Nath’, ça va être drôle!