Bâtonnet de poisson pané

J’ai toujours eu un problème avec les Croustibat (ça va plus vite que bâtonnet piapiapia). Je suis incapable de les cuisiner correctement.
J’ai beau avoir eu des cours par l’extraordinaire Nonette (AOC), soit ils sont cramés, soit ils ne sont pas assez cuits, soit cela finit en bouillie parce que je me suis un peu trop énervé avec…

Ce soir, je me suis dit que pour changer de mes pâtes quotidiennes, j’allais me faire une jolie purée à l’ancienne avec du poisson pané.
Pendant que cela cuit, je regarde quel film je vais mater ce soir à la téloche pour préparer sereinement ma reprise du travail.

Quelques minutes après, je vérifie que tout va bien en cuisine et j’aperçois un joli feu de camp… Ma poêle est en train de faire un feu scout! Mes croustibats étaient en feu !

Par conséquent, le prochain qui me dit que cuisinier du poisson pané, c’est trop facile, je lui fait manger des citrons périmés.
Le plus de ce moment, c’est que ça me permet d’affiner mes critères de recherche de l’homme de ma vie: ‘doit savoir cuire ces putains de bâtonnets’, après le ‘pas de moustache’ (by Mme Zinzin) et le ‘pas en boîte après cinq heure du matin, c’est louche'(by Ma Couille).

Résultat des courses, je vais regarder Zone Interdite sur les voyants parce que ça a l’air d’être assez marrant et qu’ils utilisent des mots chelous comme hurluberlu et tout de suite, ça gagne en crédibilité .

Vacances – Jet Lag

Il est 1h03 du matin.

Je ne suis sorti de chez moi que pour aller acheter des clopes.

Je viens de me rendre compte qu’à force de geeker / jouer à Xenoblade Chronicles, j’ai oublié de manger.

Je crois que je vais réparer ça dans pas longtemps, le temps de regarder cette série chelou qui passe à la TV et mettre un faux message de fin sur mon ancien blog.

Ayé, je crois que mon corps a enfin compris que j’étais en vacances et que tout était free-style ! Yepahhh

Livraison Expresse

Moi; Bonjour Monsieur, vous m’avez laissé un message indiquant que vus aviez un colis en instance pour moi….
Machin: Tout à fait! Vous souhaitez être livré quand ? Cet après-midi, demain matin, demain après-midi ?
      NDLR; cette discussion s’est déroulée hier matin
Moi: Demain matin, ce sera génial ! – en me disant dans mon fort intérieur que je ferai moult trucs l’après midi puisque je suis encore en vacances.

Ce matin, je me suis levé à 9h. A 11h, j’ai eu Guigui au téléphone, parce que ça fait bien longtemps qu’on a pas bavassé entre nos vacances respectives.
Puis je me suis rendu compte que ces &#-$$% de GameOne s’amusaient à programmer les nouveaux épisodes de Naruto dans le désordre et dans la même journée.

A 13h, comme la sœur Anne, je ne vis toujours rien venir…

J’ai un peu joué à Xenoblade Chronicles sur Wii (excellent, au passage), j’ai fumé des clopes, bu du Pulco Orange, lavé les superbes coussins que Nancy m’a offerts. Mais je ne suis pas sorti de chez moi parce que sait-on jamais, le livreur arrivera peut être un jour …

Et bien oui c’est arrivé ! Frooooonnnnce Express se conforme aux volontés du client. Sans rien dire, ils ont su que pour moi, en vacances, le matin commence à midi. Par conséquent, ils m’ont livré à 15h45…
Je saurai que la prochaine fois, je dois demander une livraison de nuit pour être livré le matin…

Sur ce, j’ai encore 5 jours à glander… A plus les gens !

Tu pues !

Avec ces grandes chaleurs de l’été de cette fin Aout, je vois fleurir sur le Net et sur les réseaux sociaux des messages accablants sur les vilaines odeurs corporelles des autres (à prononcer avec une voix lugubre, c’est mieux) dans les transports en commun et lieux de ‘convivialité’.

Sachez, ô grand donneurs de leçons que ce n’est pas forcement parce que l’on a oublié de se doucher ou que notre hygiène est douteuse que nous, les puants des transports, vous faisons partager, souvent à notre grand désarroi, nos odeurs corporelles…

Je vais juste vous conter ma journée, pour vous compreniez que vilipender à tout va n’est pas toujours justifié et qu’un peu d’humilité ne vous ferait pas de mal (non pas toi, toi, oui, toi au fond qui te cache)…  Attention, ça va être super long.

Course d’orientation

La scène se déroule chez Choubidoowah (ami, amie, ex sur le retour, animal, ce que vous voulez se cache derrière ce pseudo) samedi matin. A savoir que Choubidoowah a eu une moue dubitative quand je lui ai expliqué que j’étais une quiche en orientation…

Moi: Tiens, je vais nous acheter des croissants ! C’est bien les croissants, c’est rafraichissant.
C: Rôoo cool ! Si tu as le courage y’a une super boulangerie de l’autre côté de République au début de la rue Turbigot.
M: Je vais essayer de trouver ça mais je te garantis rien, je suis vraiment une burne en orientation.

Je suis donc parti aux alentours de 11h…

Une personne normale aurait mis environ 15 minutes à tout péter pour revenir avec les somptueux croissants…
Description du parcours pour la personne normale: tout droit, boulangerie sur la gauche, achat, retour et Choubidoowah heureux

Comme je ne suis pas normal, j’ai mis 50 minutes pour revenir avec des pains au chocolat et des chaussons aux pommes industriels tous pourris.
Description de mon parcours: aller à République, prendre tout droit, me tromper à l’embranchement Rue du Temple, prendre sur la gauche en me disant que ça doit sûrement être par là (eh non, c’est sur la droite en fait…), revenir à République, reprendre le même chemin après avoir scruté un plan dans le métro (mon téléphone n’avait plus de batterie, donc pas de Google Map…), bifurquer sur la droite rue Turbigot, marcher un quart d’heure pour rebrousser chemin en me disant que j’avais du louper la boulangerie, trouver une échoppe appelée ‘La Croissanterie’ qui ne vend pas de croissants (y’en a pu) mais des trucs industriels, prendre les pains au chocolat et les chaussons aux pommes, revenir en passant devant une mega boulangerie avec terrasse et arriver en sueur 50 minutes plus tard.

 

Comme la shame ne vient jamais seule, Choubidoowah n’aime pas les pains aux chocolats et la mega boulangerie avec terrasse qui tue était LA boulangerie où j’aurai dû aller (je serai donc passé 3 fois devant sans tilter)…

Je crois que maintenant, il sait que l’orientation et moi, ça fait pas deux. Par conséquent: avis à toute la populace:  si je suis toujours en retard, c’est juste à cause de mon karma, alors blâmez le soleil, le rayon de lune, le bon temps mais ne blâmez pas le boogie ! me blâmez pas…

Hygiène bucco-dentaire

En ce moment, j’aime bien me brosser les dents après la bière du midi.

En fait, ce que j’aime surtout, c’est utiliser mon merveilleux dentifrice qui fait passer tous les autres pour des ringards: le dentifrice des stars.

 

 

 

 

Disponible dans tout bon Franprix

I mustn’t be a chatterbox

A l’instant, en raccrochant mon téléphone, je viens de me rappeler cette vilaine punition que nous infligeait notre prof d’anglais au collège…

Quand tu bavassais trop avec les keupines, tu gagnais un an de bon d’achat à la foire-fouille 50 fois à copier ‘I mustn’t be a chatterbox’. Je pense qu’en fait, à l’époque, nous étions des petits joueurs.

Récemment, quelqu’un m’a dit (que tu m’aimais encore… non, c’est pas ça) ‘Pffft qu’est-ce que tu es bavard!’. Pipi de chat – encore –  puisque je viens de trouver le MASTER des pipelettes. Et c’est mon filleul !

30 minutes d’appel ce soir pendant qu’il est en vacances chez sa grand-mère, 20 minutes de monologue du filleul.

 

Qui dit mieux ?

Coiffeur – le retour

Je suis allé chez le coiffeur.

Je suis un peu dépité, c’est un autre qui a repris la boutique.

Certes, c’est encore moins cher mais je n’ai plus la joie de sentir son entrejambe se frotter le long de mes bras… et ça, ça n’avait pas de prix (sauf celui de ma gêne qui, par conséquent, peut être chiffrée à 2€)

Les phrases du jour

En plein café du matin avec mes 2 PéDés

Guigui : J’ai grossi
Moi : Ah ? De combien ?
G: Je sais pas mais je le sens
M: […] soupir

EricLaPute : j’ai maigri du mollet droit
Moi : Mais vous êtes complètement frappés les gars !

Champagne !

Je viens de quitter ma Bikette. Pauvre Bikette privée de compte Facebook pour avoir eu l’outrecuidance de ne pas présenter ses papiers à BigBrother. Bientôt sur Google+ alors 😉

Alors ma bikette, y’a qu’un truc qui peut la faire bouger, c’est les bulles. Il suffit de dire ‘Champagne’ accompagné d’un lieu de RDV et c’est parti ! Pas besoin d’autres préliminaires, direct à l’essentiel. Elle est comme ça ma keupine.

Mais je ne vous en dirai pas plus sur elle parce que je n’en ai pas l’envie. Je vais juste essayer de retranscrire une des questions qu’elle a pu me poser ce soir. La question du soir est la suivante: ‘ Putain de merde, tu mets plus de billets sur ton blog ?’ (NDLR: le putain de merde est à remplacer par un remplissage de flûte)

Et bien, là, l’alcool aidant, je lui ai raconté toutes les étapes qui font que j’ai envie de publier un billet… parce que quand on ne tient pas un blog, ce n’est pas si évident que ça…

_ Étape 1: avoir un truc à raconter… Et oui ! Même si tu arrives à sublimer le quotidien avec ta prose, quand tu ne vis plus, ben tu sublimes que dalle … Vous avez donc échappé à, ‘Je fume plus, je bois plus, je me couche comme les poules tous les jours et je m’emmerde’ ou ‘Putain’, je me suis pris la tête avec des If Else Then avec Innosetup’… Ça, j’arive pas à sublimer, désolé.

_ Étape 2: commencer à le mettre en forme dans son cerveau. Mes billets, souvent (hors période champagnisée) sont préparés dans ma petite tête de linotte quelques heures avant publication. Pourquoi je raconterai ceci, pourquoi cela, est-ce que mon billet aura un minimum de corps, suis-je trop saoul pour publier ?

_ Étape 3: avoir le temps de publier le billet. Tête de linotte que je suis, mes billets sont prêts dans ma tête mais un Lego Star Wars sur Wii ou un plongeon dans les yeux de Yann Barthes et pfiou, tout s’est envolé et il est l’heure d’aller dormir. Reporté sine die le billet…

_ Étape 4: écrire le billet à l’arrache si cela arrive. Le relire 150 fois, refaire mes phrases pour qu’elles semblent correctes, ajouter des hyperliens pour le côté WWW  vingt-deux point zéro, relire encore, corriger un peu les fautes que SatanaS pourrait trouver, me demander ce que Nancy trouverait à redire sur ce billet, l’effacer, le refaire, me dire que Bikette attend qu’il soit publié, l’imaginer tomber de sa chaise avec sa flûte de sommeil, cliquer sur le bouton ‘Publier’, reporter la publication en fait, me dire que Britney elle a des putains de bons singles, refaire le billet, relire mes phrases, recorriger mes fautes. Être éreinté d’avoir écrit ça, batailler avec mon portable qui aura rendu l’âme entre temps et que lequel j’aurai installé quelques OS ésotériques.

_Étape 5: cliquer définitivement sur ‘Publier’ après 1 heure de tergiversation avec moi même…

 

Voilà, le résumé de ce que j’ai pu dire à ma Bikette ce soir… Mais pour une fois, je ne reviendrai pas sur ce que j’ai écrit, je ne chercherai pas la bonne tournure, celle qui pourrait m’apporter au moins un commentaire et ce billet sera publié une fois le dernier point frappé sur mon clavier… <– c’est c’ui là !