Hystérie

Un collègue : Si on achetait une poêle pour l’arrêter quand il se met à courir dans tous les sens ?

Un autre (qui me surnomme sauterelle de part ma grâce légendaire aux petits sauts de cabris): et un Taser pour le calmer définitivement ?

Moi : Je suis en vacances demain ! Je suis en vacances demain ! Wouhouhouhouh

En fait, je crois que c’est eux qui vont l’être…

Valoche Night II

Je reprend mon billet là où je l’avais laissé, c’est à dire, mon endormissement dans le métro…

Pour moi, la soirée a commencé à Argenteuil où nous avons mis au point notre dress code: moi en vert, ma Couille en rouge et M. Troll en jaune (customisé par M. Troll).

Arrivé chez Val, j’étais un peu dépité: les dealers ne sont plus dans son hall d’entrée, ils ont migré (peut être que l’été ils nidifient ailleurs) donc je n’ai pas pu leur dire bonjour…

Il faisait chaud, mais qu’est ce qu’il faisait chaud ! Même sur la terrasse sous la vigne.

En fait, il n’y aura pas grand chose d’extravagant à raconter. La soirée s’est passée sous les meilleures hospices: de l’alcool, une adolescente à essayerde traumatiser avec Just1bibé et des revenants helvètes.

Soit je deviens vieux, soit les meilleures soirées sont celles qui se déroulent sans que l’on sente l’heure passer ?

En tout cas, je n’ai pas fait le fier quand la Troll Family a sonné chez moi à 16h30 pour prendre leur café de petit déjeuner parce que eux, ils n’avaient pas dormi…

Valoche night

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Partid’Argenteuil avec Ma Couille et M Troll pour fêter l’entrée de Val dans la quarantaine. Nous étions conviés à une soirée reggae’s night.
Déjà, il a fallu brainstormer pour trouver la tenue adéquate et comme personne n’est au fait des us et coutumes de ces barbares, nous en avons chié.

Tiens en parlant de fais chier, le métro c’est vraiment trop la merde pour écrire un billet. Je reprendrai donc plus tard une fois arrivé chez moi et que mon vieux corps se sera reposé. À plis tard les gens…

Boumbo

Ayé, j’ai conduit la BoumboMobile de mon service !  Tout seul comme un grand!

Je suis trop fier de moi parce que j’ai même pas loupé les priorités à droite, ni les feux rouges et j’ai même réussi à éviter un scooter fou (vérifié, c’était pas Bikette dessus) et je n’ai écrasé aucune fleur…

Bon, OK, Nanterre-Asnières, c’est pas la peine d’en faire un flan m’ont rétorqué certains devant mon air victorieux en arrivant mais, si c’est un petit pas pour la BoumboMobile, pour moi, c’est une grande avancée. J’ai enfin pris le volant en Ile de France sans faire de crise de nerfs.

J’vais me coucher heureux ce soir…

On TV

Je savais pas écrire alors je me suis dit que j’allais vous faire profiter de ce que je regarde à la téloche en ce moment même, et un petit clin d’œil à Stéph aka Lapin par la même occasion.

Pardon, j’aurai dû dire « ce que je suis en train de regarder visuellement »*

* Phrase faisant partie du grand plan P.I.P.O.

A new day has come


Fallait que je la fasse celle là.

Bone, après le billet de cinq mètres de long, je vais vous la faire assez courte pour la fin de mon changement de taf (et puis parce qu’il faut quand même passer à autre chose de temps en temps)

Comme tout bon départ, j’ai fait mon joli pot et mes collègues m’ont offert de somptueux cadeaux (même des cadeaux virtuels). Pour les réels: un abonnement à Tétu (tiens donc…), des bouquins (le PC pour les nuls, Flash et Pourquoi les vaches ne savent pas descendre les escaliers), un pin’s Firefox, des cartes avec plein des mots et sûrement d’autres que j’ai oublié de citer mais que SatanaS se fera un plaisir de rajouter en commentaire (ou pas).

Ensuite, virée dans un bar, manger au Quick (j’avais gravement envie d’un Long Bacon) et Quetzal. Et oui, quel pot ne se finit pas dans ce bar? Oui, les autres, mais c’est forcément moins bien alors… 🙂

Mes collègues rentrent chez eux. Je suis un peu gravement saoul donc je vais à l’Inso. Le reste sera très flou jusqu’à mon retour chez moi. Je passerai sous silence les détails de mon réveil pour ne pas heurter mon public le plus jeune mais ça n’a rien de bien glorieux…

Bref, ce dernier jour aura été un jour assez éprouvant émotionnellement mais je n’aurai pleuré qu’en regardant le dernier épisode de Scrubs le samedi soir dans mon lit.

Je ne dormirai pas beaucoup du WE de stress mais j’ai été vite mis dans le bain.

La dernière anectode avant de vous bassiner tout au long de cette année 2010 (année du vice) de toutes mes niaiseries est ma première intervention à mon nouveau boulot: une madame qui n’arrivait pas à imprimer depuis un mois. Constat flagrant: elle n’a juste pas appuyé sur le bouton ‘On’ de son imprimante… Je vous jure qu’il y en a qui rempliraient un roman entier de perles dans le genre…

Certes, je bâcle un peu ce billet mais je préférais faire un résumé vite fait de la fin que de ne rien faire du tout et passer à autre chose (comme d’hab quoi – la perche est tendue, profitez en).

Problème technique

Il semble que le pass pour entrer à la préfecture ne peut pas servir de moyen de transport. En tout cas, il ne m’a pas permis de sortir du tourniquet du RER…

Chienne de vie.

10 jours, c’est court – la fin du teasing

Je sais, je sais, je suis un peu lent à la détente mais bon… on ne se refait pas quoique… Accrochez-vous vous allez avoir de la lecture…

Justement, en parlant de se refaire, 2009 aura quand même été une sacrée année. Ne vous inquiétez pas, je vais pas vous faire mon bilan annuel de compétences hein 😉

Après le changement de maison pour habiter tout seul comme un grand, voici le changement de boulot à l’arrache ! Pour ça, je vais vous raconter les circonstances. Non pas que je détestais mon boulot au bureau, j’aimais bien m’occuper de mes petits professionnels (et des grands aussi d’ailleurs). Non, j’ai juste passé un concours que j’ai catastrophiquement loupé.

Premier jour de concours: épreuve d’analyse de documents. Épreuve sur l’auto-entrepreneur, ça tombait bien, ça me permettait d’approfondir ce sujet que je déteste (quand on te donne 3h pour y penser, ben tu le fais) et grapiller des infos au passage. Puis l’épreuve d’anglais, une vieille version pas trop moisie cette année. Je ressors de la salle avec une niaque d’enfer à la je-vais-tout-péter, je suis trop fort, ayé, je vais enfin être contrôleur.

Le lendemain matin, toujours la supra niaque de la mort qui tue. J’arrive à l’épreuve professionnelle. Cette année, ils avaient changé le programme pour enfin coller à ce que nous faisons tous les jours en SIE. Le sujet arrive sur mon bureau et là, en le lisant, j’ai failli pleurer de rage et de désespoir. En bref, c’était: comment kon fait un arrêté comptable dans notre super logiciel de compta (avec des numéros de comptes et tout et tout). La merde ! Pour moi, l’arrêté comptable journalier se borne à Josiane (ou Geneviève, dépend des jours)qui  passe et dit « c’est bon, vous avez plus besoin de l’appli? » et ma réponse ‘oui’. Effectivement (take care SatanaS va parler par mes doigts, on appelle ça de la doitopathie), c’était au programme et j’avais qu’à bien faire mes révisions (Allez ouste SatanaS ça suffit) mais vu la masse d’autres travaux qu’on peut avoir, j’avais pensé (aussi à tort) qu’on nous éviterait la partie compta.

Et là, je ressors de la salle en totale dépression.  Où vais-je, dans quelle étagère, etc… ? Et là, je me pose une vilaine question « Et si, en fait, tout ça c’était pas pour moi » et me rappelle qu’un poste c’était libéré une semaine avant à la Cellule Micro Informatique de ma direction. Quelques milliers de coups de fils plus tard à Sœur d’Amour et  ma Couille, ma décision était prise. J’allais postuler pour la place, quand bien même je ne l’aurai pas, au moins, ça me bougera le cul et bon, c’est pas du tout comme si j’avais jamais voulu bosser dans l’informatique, hein?

Le lundi suivant, coup de fil à la CMI pour prendre RDV, les filous me font un entretien téléphonique, toujours très pratique quand on est dans la rue et pas super à l’heure pour arriver au bureau. Je réponds puis ils me disent que je serai convoqué pour passer un entretien avec leur chef.

Le RDV arrive, l’entretien est digne du 3è type. Je m’étais fait brieffé par Nancy, la reine des entretiens d’embauche mais en fait, j’ai eu deux questions: « vous avez le permis? » et « la manutention ça vous dérange pas? ». J’essaye de me vendre un peu quand même parce que bon, c’est Ma Couille qui l’a dit. On finit sur « y’a d’autres postulants, vous aurez une réponse d’ici la fin de semaine » et je crois comprendre qu’en fait, c’est plutôt bon pour moi et que le poste est  à affectation immédiate.

Retour de WE (j’étais en RTT), j’apprends que j’ai failli déjà partir pendant que j’étais en congés (quand je dis immédiate, c’était pas une filouterie). En fait, j’ai reçu la confirmation le vendredi soir mais j’étais un peu en formation, donc j’avais pas vu. Avec grande chef, on repousse d’une semaine, le temps que je finisse ce que j’avais sur le feu et que je fasse un pot de départ digne de ce nom.

Voilà comment en 10 jours, je suis passé du monde des professionnels à celui de l’informatique.

Je ne vais pas continuer à vous assommer. La suite: le pot spectaculaire, et les débuts tout autant dans un prochain billet !

So To Be Continued…

Teasing #3

_ Euh, les gars, c’est quoi ce téléphone du 3è type avec des millions de touches ?

_ Trop facile, alors tu interceptes un appel comme ça, tu peux chercher des gens dans la tour avec la touche là… etc …

…………… Plus tard …………….

DRRRRRRIIIINNNGGGG

_ Euh, on fait comment pour prendre l’appel?