Halte là !

Ce soir, après avoir bu moult binouzes dans notre bar miteux post-bural, je rentre à la maison.

Que vois-je en allant sur Netvibes et les statuts Facebook?  – parce que oui, comme j’ai rien d’autre à foutre (ce verbe est bien choisi d’ailleurs) en ce moment, je me jette dès mon arrivée sur mon ordi, puis sur ma DS –

Je vous fais un copier-coller parce que j’arrive pas à l’écrire:

Amelie Gaudin pas d’iphone pour madame zinzin.10:37

Deux solutions: Soit on organise un Zinzinoton, soit je deviens anachorète pour m’empêcher de pleurer quand je la verrais samedi soir.

La vie est trop injuste moi j’vous dis

Encore au Trucmuche?

La soirée prévue a été définitivement à  marquer dans les annales…

Début à  18h30 pour les soiffards sortant du bureau (dont moi). Premiers morts à  21h, deuxième salve à  22h et avant dernière à  23h30… Quand je dis que l’alcool est un fléau !

La soirée a commencé par une confrontation des VP et des Gouv.fr (merci Caro), chacun faisant sa soupe dans son coin et oi papillonnant tant que possible entre ceux deux troupeaux. Les cadeaux sont arrivés ( on a l’air malin de s’offrir réciproquement le même cadeau, soit une DS , les perruques ont été enfilées. Tout part à  ce moment là  en n’importe quoi.
perruques.jpg

Bref, le patron nous fait boire de la Chartreuse qu’il prend plaisir à  enflammer directement dans notre bouche. Heureusement, les lunettes de soleil ont permis de cacher la petite larme de douleur quand j’ai avalé le machin cul-sec. J’enchaine par des shooters avec un inconnu ( son cadeau d’anniversaire, il voulait pas me rouler une pelle alors il a choisi d’offrir de l’alcool ) puis avec Thom et LN.

Tout le monde mort et au lit, je file à  l’Insolite. Humeur maussade d’un coup, je sors de l’extraordinaire pour rentrer dans une boite vide avec de la musique tout aussi vide. Quelques vodka plus tard, direction le Dépôt (à  quand la carte d’abonnement?), je veux danser mais je trouve pas la piste de danse (putain de travaux). Dans un moment de grâce, je trouve le bar (me semble que c’est à  côté de la piste, ce qui veut dire que je suis toujours blonde puisque je n’ai pas réagi). Trouvé un autochtone après des heures de marches…

Nous rentrerons ensemble à  Goncourt (le métro, pas la ville natale de ma couille) pour finir la nuit dans ses bras.  Les autochtones gentils existent encore; en revanche, ceux qui prennent ton numéro et qui ne s’en servent pas n’existent que trop… ! Comment ça un peu désabusé? Mais c’est le jeu ma pov’ Thérèse…

Et bien, moi je n’ai qu’une hâte c’est qu’on recommence ça très vite les ami(e)s !

Retrospective I – Pôle High Tech

Comme j’aime aider ma coloc dans sa kabale contre la sinistrose au bureau, je suis allé avec elle et son pôle (ses esclaves quoi) au TrucMuche, bar merveilleux d’où je ne suis encore jamais sorti vivant.

Arrivée pendant l’happy hour, fait connaissance du pôle High Tech de sa boite. Nancy arrive et je commence déjà  à  être saoul puisque les barmen ont la bonne idée de doser l’alcool à  la main (soit dit en passant, barman très très joli mais nous y reviendrons plus tard). Tout le monde commence à  être gris et la GalocheGirl attitude nous prend. Soirée agréable même si le Pôle aurait pu être un peu moins coincé.

Tout le monde se casse (Lyes et Antoine repartent ensemble, les coquinous) et je pars pour danser au Dépôt. D’un autre côté, tu veux aller où un mardi soir? So, Dépôt en travaux, croisé un gens qui m’aura aidé à  me prendre une cuite (remember, à  la main) et fini dans le lit d’un GymQuouine à  qui j’aurais ruiné l’appart’ en me pétant la gueule toutes les 5 minutes et en emportant avec moi les meubles (tiens elle m’a pas rappelé… étrange)

Rentré chez moi à  13h15, douche, manger rapide et retour au bureau pour 14h; j’ai eu la bonne idée de poser ma matinée… L’après-midi fut longue, longue, longue… mais pour une fois, les gens ne faisaient pas de coma éthylique quand je leur parlais… Cool, je recommencevendredi prochain !

J’ai trop bu – Rectificatif

free music

Bon, ce n’est pas parce que je l’ai écrit hier sous l’emprise de l’alcool, que je suis parti chercher dans la minute le prince charmant… Certes j’aurais pu aller dans une boite et trouver une flopée d’hommes de ma nuit mais ce n’est pas le but.

Alors, on se calme un peu, on refroidit les esprits et on attend… J’ai jamais été un grand nerveux de la vie, ça va pas changer !

Où Blanquette rime avec maux de tête

Hier au soir, pour fêter la promotion d’une collègue (la fameuse liste de décrépitude), un pot était organisé par l’heureuse gagnante.. Au menu: petits gâteaux, petites bouteilles au nom prometteur : Blanquette de ‘je sais plus où’. Bref, 16h30, les festivités sont lancées. Nous buvons, mangeons, fumons des clopes dans le froid, la vie se déroule bien comme il faut. Grand Chef me donne même les clés du Centre, c’est pour dire. J’ai aussi organisé un suicide collectif de souris (toutes pendues à  leur lecteur de CD ouvert avec un post-it posthume inventé par mes soins – Guigui a adoré celui ‘J’ai écouté Michel Delpech’). Dans le même ton, SatanaS a eu droit à  un suicide de son clavier et téléphone par solidarité.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est le trou noir après.

Impossible de me rappeler le trajet du retour, de ce dont j’ai parlé avec Nancy en rentrant (elle m’a brieffé depuis et mon nouveau jeu est de parler aux murs il semblerait). En revanche, j’ai détesté l’alarme qui s’est déclenchée dans ma tête la nuit… Essayez de dormir avec une sonnerie stridente inventée par votre cerveau (donc non étouffable par un oreiller ou un ours en peluche), ben c’est pas superbe… Que les mauvaises langues se rassurent, aucun problème au niveau de la vraie alarme (celle du Centre), j’ai tout bien fermé comme un grand après avoir jeté dehors mes amies Sue Ellen.

Aujourd’hui, nous avions tous la nausée, mal au crâne, une hécatombe. Un lendemain (enfin un aujourd’hui) très, très, très difficile. Nous avons disparu du bureau comme une nuée d’hirondelles flairant le printemps à  16h30. Quitte à  être inefficace, autant l’être chez soi.

Plus jamais je boirais de cet alcool qui a tenté de me tuer..  Plus jamais…

Tiens! t’as fait quoi depuis samedi?

Ben, à  part cette fabuleuse sortie avec Nono et pré-soirée avec les z’amis, je me suis encore amusé à  passer mes concours annuels avec un résultat couru d’avance vu la blancheur de ma copie que mon crayon n’a pas voulu noircir… On a pas idée de me mettre dans les pattes des logarithmes en base dix qui deviennent des logarithmes népériens; moi ça me choque ce genre d’idées… Et un joli oral informatique ce matin, je me suis fait lincher en beauté dont la plus jolie question: ‘parlez nous du modèle OSI ‘ . Qu’est ce que vous voulez que j’en sache? Moi je dépanne les gens, c’est tout … et comme ils ont vu que j’étais une brelle de chez brelle en réseau, ben ils se sont largement fait plaisir. Bon c’est de bonne guerre je trouve.

Sinon, soirée de samedi dernier au Quetzal as usual. Beaucoup de bières dans un bar non fumeur (ça fait un peu bizarre sur le début, on s’y fait ensuite); malheureusement, certaines odeurs reviennent à  la charge, un peu d’aisselles par ci, un peu de pipi par là , alors que moi je m’étais noyé sous une bombonne de déo pour ne pas être désagréable olfactivement avec mes voisins… Heureux que Nico soit resté jusque tard grâce à  cette ambiance non enfumée… Soirée suivie d’une virée à  l’Insolite où les ravages de l’alcool ont, une fois encore, fait leurs effets… Je n’irai pas plus loin dans les explications puisque cette virée entre pouffes ne peut être comprise que par les pouffes qui y étaient…

Allez pour finir cette semaine en beauté, je m’en vais regarder l’interview de Vitaa chez Cauet, tant qu’à  avoir eu une semaine moisie, autant la finir en beauté !

And a happy new year…

Voilà  2007 s’en est allé. Une bonne teuf pour fêter ça avec moults alcools. Les photos ont même déjà  été mises en ligne…

Allez 2008, grande année, aucune résolution parce que de tout façon, rien n’est jamais tenu, juste quelques envies de changement. Mais bon, je suis déjà  heureux et c’est quand même pas mal non?