Comment je me la pète avec ce nom compliqué digne d’un Nono en pleine crise de thèse… La colocation vient de vivre ses heurese les plus sombres…. En effet, un intrus s’est glissé dans notre chez-nous douillet et cet intrus c’est ça:
Résumé de la situation: je rentre de ma formation sur la Taxe Professionnelle (où j’avais rien trépané), me dirige vers la cuisine en voyant voltiger des petits papillons d’aspect plus moches qu’un des dernières chorégraphies de Britney (?). Début de la crise d’hystérie, ruée sur internet pour confirmer mes soupçons… Des connasses de mites alimentaires… Solutions parcourues, puis clope sur le balcon pour me calmer avant que mon cÅ“ur de pôvre petite tapette ne lâche.
Retour des coloc’s, grand ménage d’automne dans l’appart; hors de question que ces saletés n’aient le temps de survivre ne serait-ce qu’un instant… Eau savonneuse, laurier, javel, tout y est passé (et pièges à phéromones ce soir) ainsi que le jetage en règle de toute la nourriture qui aurait pu être contaminée (ça c’est ultra pas drôle). Fin de la séance ménage à 22h30… On verra si ces sales chacaux résistent !
Non mais quelle angoisse mes aïeux, quelle angoisse…
NDLR: le piège à phéromone fonctionne à merveille: ce soir, Conn’Mitt était à un mètre de lui mais elle avait pas l’air très sexuellement attirée… C’est peut être des mites PD qu’on a à la maison…