Ce week-end, j’ai eu droit à mon cadeau d’anniversaire par mes ami(e)s/collègues du boulot, mon week-end surprise !
Montés dans la voiture des hommes (y’avait une voiture femme aussi mais pas rose), nous avons entamé le périple vers… ben je savais pas trop où (oui c’est une surprise). J’avais déjà quelques indices mais connaissant l’esprit tordu de SatanaS, je croyais qu’elle m’enduisait avec de l’erreur en brouillant les pistes.
Nous sommes arrivés à Agon-Coutainville (si je me rappelle bien) sans heurts et plein de bonheur des années 80 de Nostalgie dans les oreilles (Lalalalala). Plein de vent, un peu de crachin mais c’est normal parce que c’est la Normandie quand même.
Installés dans notre maison du week end (merci Stéph), nous partâmes à l’aventure. Non , je déconne. On a mangé et picolé comme des petites truites violettes. Les garçons ont fini sur la plage et moi au lit angoissant de leur éventuelle noyade en marée basse (en Haute Marne, on a pas la mer alors je suis un peu novice en marées). Nuit extraordinaire aux côtés de Stéphane (nous faisions lit commun) avec son réveil qui sonne à 6h du matin. Ben voui, le 6 quand t’es saoul, c’est comme le 9 mais à l’envers. J’ai du lui grimper dessus pour éteindre le bordel qui faisait un tintamarre pas possible. Rassures toi lecteur, je n’ai fait que de l’alpinisme caché au fond de mon sac de couchage uniplace //
Samedi, visite de Cherbourg avec nos parapluies. Nous nous sommes faits jeter d’un restaurant parce que les bougres, à 15h, ben ils ferment. On est pas habitué nous autres parisiens à ce genre de blague… On se rabat sur un bouiboui avec une vieille tenancière au chien ridicule. Moules frites ou poisson, faisons couleur locale -)
Samedi soir, retour à la maison, barbecue, et c’est moi qui ai fini sur la plage. Tellement de vent que mon parapluie en est ressorti biscornu et mon cheveu totalement exfolié (si ça se dit pour un ch’veu) et toujours pas la mer… (encore une sombre histoire de marée basse)
Dimanche, visite du Mont St Michel, mangeage de galettes et retour à Paris.
Ben c’était vraiment bien les ami(e)s, merci encore pour ce somptueux cadeau.