Le triple anniversaire de ce week-end fera l’objet d’un billet plus tard, le temps de me remettre de ces émotions (et de pouvoir mettre toutes les photos en ligne…)
Nan, là, je suis une super cruche (avec le colant et le slip ringard en plus)…
J’ai eu un rencart, comme ça m’était pas arrivé depuis des lustres (des millions d’années?). Nous l’appelerons R. pour ne pas laisser trop de suspense. Nous avons bu un petit verre de vin en terrasse à Montmartre, mangé japonais puis bu un thé chez lui (je suis capable de truc de fou, des fois).
Et là, il a sorti sa guitare et m’a joué de la musique. Je ne vous raconte même pas comment j’étais en pleine extase, je me serai bien fait pipi dessus de bonheur. De la musique d’autres, de la musique de lui, de la musique comme ça, juste comme ça. J’oscillais entre une transe chamanique et l’envie de lui sauter dessus pour le violer.
Ben, je me suis enfui comme un lâche, je suis parti. J’ai failli pleurer dans la rue (rapport à mon bonheur, oui j’extériorise ça comme ça) mais bon, je suis un homme et ça se fait pas. (je ne suis pas une drama queen tout le temps cher lecteur).
On appelle ça comment déjà? Ah oui, fuir le bonheur, ah non, on appelle ça la vie de super cruche.
Ne désespèrez pas, cher lecteur et chère lecteuse, j’y retournerai et j’y arriverai…
M’enfin! Faut se faire désirer un peu!
pi le troisième rencard c’est le bon pour la coucherie!