Fallait que je la fasse celle là.
Bone, après le billet de cinq mètres de long, je vais vous la faire assez courte pour la fin de mon changement de taf (et puis parce qu’il faut quand même passer à autre chose de temps en temps)
Comme tout bon départ, j’ai fait mon joli pot et mes collègues m’ont offert de somptueux cadeaux (même des cadeaux virtuels). Pour les réels: un abonnement à Tétu (tiens donc…), des bouquins (le PC pour les nuls, Flash et Pourquoi les vaches ne savent pas descendre les escaliers), un pin’s Firefox, des cartes avec plein des mots et sûrement d’autres que j’ai oublié de citer mais que SatanaS se fera un plaisir de rajouter en commentaire (ou pas).
Ensuite, virée dans un bar, manger au Quick (j’avais gravement envie d’un Long Bacon) et Quetzal. Et oui, quel pot ne se finit pas dans ce bar? Oui, les autres, mais c’est forcément moins bien alors… 🙂
Mes collègues rentrent chez eux. Je suis un peu gravement saoul donc je vais à l’Inso. Le reste sera très flou jusqu’à mon retour chez moi. Je passerai sous silence les détails de mon réveil pour ne pas heurter mon public le plus jeune mais ça n’a rien de bien glorieux…
Bref, ce dernier jour aura été un jour assez éprouvant émotionnellement mais je n’aurai pleuré qu’en regardant le dernier épisode de Scrubs le samedi soir dans mon lit.
Je ne dormirai pas beaucoup du WE de stress mais j’ai été vite mis dans le bain.
La dernière anectode avant de vous bassiner tout au long de cette année 2010 (année du vice) de toutes mes niaiseries est ma première intervention à mon nouveau boulot: une madame qui n’arrivait pas à imprimer depuis un mois. Constat flagrant: elle n’a juste pas appuyé sur le bouton ‘On’ de son imprimante… Je vous jure qu’il y en a qui rempliraient un roman entier de perles dans le genre…
Certes, je bâcle un peu ce billet mais je préférais faire un résumé vite fait de la fin que de ne rien faire du tout et passer à autre chose (comme d’hab quoi – la perche est tendue, profitez en).