La journée avait pourtant bien commencé: pas trop mal dormi, levé sans trop de difficultés et matinée comme il faut au taf. En fin de journée, je suis rentré sans anicroches à la maison, enchainé avec un peu d’associatif et mon footing du lundi.
Un épisode de la saison de ‘Spécial’ sur Netflix pour laisser le temps à mon corps d’arrêter de transpirer comme les chutes du Niagara. Douche puis appel à ma soeur pour s’assurer de la véracité des propos de mon filleul (c’est filou un ado), et à ma maman pour prendre les nouvelles hebdomadaires.
Miam, petite commande internet, résa de notre resto de mercredi avec SatanaS et je me cale devant ‘Parasites’ sur France 3, qui débute comme il faut et me donne envie de ne pas zapper. J’en profite pour commencer à chercher une boite sympa qui voudra bien de moi à la réouverture officielle de la danse du vendredi soir (j’ai mon passe sanitaire, je peux aller guincher comme un diable sur de la musique disco).
Sauf qu’à vingt deux heures (oui vingt deux heures), l’envie de dormir se fait sentir. Qu’à cela ne tienne, je vais suivre les signaux de mon vieux corps et lance l’enregistrement de la fin de mon film. Je verrai la suite demain, merci Plex, ma Shield et mon tuner TNT. Brossons nous les dents et allons gaiement se coucher.
Bon ben, là, maintenant, il est une putain d’heure et demie du matin et je n’ai toujours pas trouvé le sommeil. Mon cerveau ayant trouvé très drôle de penser à ma journée de demain par anticipation (qui n’a rien d’extraordinaire: du taf et un peu d’asso aussi) avec la conséquence fâcheuse que nous connaissons maintenant.
Bref, c’est trop super !
Bon ben j’y retourne, pas au sommeil parce qu’il n’a pas l’air d’avoir envie de revenir, à autre chose mais j’ai pas encore trouvé quoi.
La bise !