Bières

Ce soir, j’ai bu des bières avec mes collègues.

Comme nous le faisions habituellement avant pour faire le debrief de notre réunion.

Comme nous le faisions habituellement avant que mon corps (ou ma tête) ne parte en sucette.

La dernière epreuve est passée avec habileté.

Préparez vos bouteilles, vous qui m’avez attendu pendant ces trois mois trop longs et chiants.
Parce qu’on a du temps à rattraper…

Yeah!

Le matin, c’est jeu vidéo

J’ai, dernièrement, blindé ma carte SD de 8 gigas de mp3 en tous genres.

J’y ai surtout un peu de la BO de Zelda Spirit Tracks sur Nintendo DS. Je kiffe ce jeu et va savoir pourquoi, je me suis dit que j’allais me faire mon trajet comme dans le jeu…

Je vais volontairement splitter ce billet en deux parce que, les sites de streaming audio se réduisant comme peau de chagrin sous la menace des ayants-droits majors, je n’ai trouvé que du youtube…

Vous allez donc m’accompagner tout au long de mon voyage. C’est maintenant ou jamais qu’il faut cliquer sur ‘Lire la suite’

RHPS // Mais où est Charlie ?

Une petite quinzaine de cela, nous – Mme Zinzin, les Trolls, Dinisse, et d’autres – sommes allés voir le Rocky Horror Picture Show.

Ce film, sorti en 1975 (même pas j’étais né…) est pour moi cultissime… C’est vrai que, dans l’absolu, cela est un nanard utilme à base de comédie musicale et d’E.T. mais bon, quand on est fan de Karen Cheryl, est-ce si illogique ?

Et bien, tous les samedi, le film est projeté au Studio Galande et une troupe rejoue le film devant la toile ! Et là, la magie opère très vite… Aux personnes voulant s’y aventurer, sachez que vous revivez littéralement le film: on se balance de l’eau à la tronche quand il pleut, on se jette du riz au moment des mariages (2), du PQ, des cartes et des toasts ! La troupe d’acteur nous fait participer avec elle au film, c’est trop l’éclate .

J’ai kiffé ma race et je vous conseille à tous d’aller y faire un tour: c’est pas cher et ça sort de la grisaille quotidienne. Vous pourrez prendre part aux péripéties de Brad (asshole) et de Janet (slut). En plus on n’a pas l’occasion de voir un film passer depuis 30 ans au ciné, c’est pas Avatar et sa 3D moisie qui pourra s’en targuer…

Sinon, bien sûr, je me suis offert le BluRay collector pour fêter les 35 ans du bouzin et ben, ils ont putain de bien bossé les gars. La bande son fait saigner les oreilles et l’image… l’image… rien que la tenue de Columbia vous en met plein les mirettes dès le début. Si vous êtes pas BuRay-tisés ou que vous n’avez pas la superbe nouvelle Freebox (qu’est un peu pleine de bug mais c’est pas grave), viendez le voir chez moi, on se fera une petite projection !

A vous maintenant de jouer à ‘Mais où est Charlie? », trouvez sur la page des Sweet Transvestites: Mme Zinzin, Troll Meuf & Mec, Dinisse et son BeautyBoy , Ludi et son GiliChéri, et moi même. Les gagnants auront droit à un bisou sur le front (je sais, je suis un peu l’incarnation de la générosité)

Chat noir

Depuis le début de semaine, je rencontre de graves problèmes dans les transports en commun…
Prévisions de traffic toujours au beau fixe mais quand tu mets les pieds dans ce capharnaüm, tu déchantes.

Exemple aujourd’hui: arrivé super en avance au RER A, ben, en raison de divers incidents (sic), c’est la merde. J’abandonnerai lâchement au bout de cinq RER bondés.
Je rebrousse chemin. Drame: les quais de la 9 sont impraticables (pas pratique pour rebrousser, sans machette, pas de chemin)
Pas grave, je me dirige vers St Lazare à pied pour chopper un train et je suis acceuilli par un ‘le traffic est perturbé sur ta ligne mon coco’.

Et ben vous savez quoi, j’ai enfin mon cul posé dans le train salvateur après avoir erré pendant trois quarts d’heure dans les souterrains.
Pendant ce temps là, le traffic est annoncé comme normal côté RATP et SNCF, je viens de vérifier à l’instant…
Et moi, je vais encore arriver à point d’heure au boulot.

Je crois que je suis maudit…

Ma semaine de merde

Il y a des semaines, qui, dans leur globalité, peuvent être décrites par un seul mot. Pour moi, la semaine dernière fut une semaine de MERDE.

Alors, lundi dentiste, ça ça va, je me fais poser la première couronne de ma vie et par conséquent, je me sens un peu princesse dans l’âme et on parle du fait que j’ai un dent qui tiraille un peu (qu’on a refait quelques semaines avant). On verra cela au prochain RDV puisque ça tiraille juste un peu. Au bureau, je suis tout content parce que j’ai reçu ma nouvelle clé USB pour bosser et qu’elle fait 16 Go et ça c’est trop la classe.

Le soir, je commence un billet de Plumpy Cool sur le fait que les clés USB, ça peut péter très facilement et on peut rapidement perdre des fichiers.

Mardi, je pète ma nouvelle clé USB à coup de genou, je commence à avoir un peu plus mal à ma dent qui tiraillait.

Mercredi et Jeudi, formation électrique B0 que j’aurai haut la main avec 15.75 au QCM final. On forme un super tandem avec Guigui le téléphoniste. J’ai super mal à ma dent et lui a une crève du tonnerre alors on fait de la contrebande d’Advil mais on réussit quand même à animer un peu ce stage…

Vendredi matin, malgré la rage de dents qui m’a empêché de dormir, je pars au boulot. Ben ouai, j’allais quand même pas aller chez un dentiste pour si peu non? 3 stations de tramway plus tard, je m’effondre (encore un vieux malaise vagual). Une petite minette me sort du tramway, m’offre un Kinder Country et attend que je me sente mieux (j’ai adoré le moment où quand je m’excuse de l’empêcher d’aller bosser, elle me sort qu’elle s’en fiche, elle a un Blackberry et que par conséquent, si ils ont besoin d’elle, ils peuvent l’appeler) Je rebrousse chemin, préviens mes collègues que je n’irai pas bosser et vais chez le médecin. J’y gagne une boite d’Advil pour mes dents et le droit d’une analyse sanguine. Je resterai au lit all day long et ma dentiste est en congés.

Samedi matin, je pars au labo pour les analyses. Là, on me dit que l’analyse durera 3 heures (!) et que je dois acheter du glucose à la pharmacie. Impossible de tenir debout plus de 3 minutes sans me sentir mal, j’arrive quand même à acheter ce putain de glucose et rentre au labo. Donc, là, ils vont me faire une hyperglycémie provoquée, je bois mon glucose, c’est trop dégueu puis me fait pomper le sang. J’y aurai droit une fois par heure pendant trois heures ainsi qu’une analyse d’urine à chaque fois. La madame me dit qu’il y a aussi des milliers d’autres trucs qui seront analysés mais j’ai pas tout compris. En sortant, je fais mes courses, rentre chez moi et me couche.

Dimanche 3h du matin, je suis réveillé par ma rage de dents. Là, ce n’est plus gérable et j’appelle SOS dentaire dès le lever du soleil pour prendre RDV. RDV pris pour 15h. Le chemin en métro n’est pas au top, j’ai peur de retomber dans les vap’ comme les jours précédents, ça passe tant bien que mal. Arrivé là bas, en fait, j’ai une vilaine pulpite, je me ferai donc dévitaliser la dent en attendant mon prochain RDV chez la dentiste.

Puis je file au Brunch au Vincennes Castel. Ca me permettra de finir la semaine bien mieux qu’elle ne se sera déroulée. L’anesthésie aidant, je ne sens plus rien, je n’ai plus mal et j’ai déjà moins envie de mourir dès que je suis debout. On fait un peu de Just Dance 2, on boit, on rit, on se raconte des trucs de tapettes et on joue à un super jeu d’alcoolique le ‘j’ai jamais‘ version Rainbow. On essaye de se caler un RDV pour une soirée Crazyvores, on y arrive et je rentre chez moi.

Je passerai enfin une nuit correcte si je n’avais pas oublié de désactiver ce putain de réveil ! Je suis donc debout depuis 7h30 ce matin. Mes dents vont mieux, ça tiraille encore un peu mais il faut que l’inflammation passe. Je suis donc fin prêt à recevoir la famille Troll pour conjurer le mauvais sort de cette semaine de merde…

Ma cure minceur

Mesdames, Messieurs, écoutez bien car je vais vous révéler mon secret minceur de l’été.
Pour avoir un corps de rêve, point de cure de 35 fruits et légumes par jour, point d’anneau gastrique, point de régime au nom abscons ou de sport torturant.

Non, mon régime à moi, c’est le régime Navigo© !
Vous allez me dire: c’est quoi le régime Navigo© ? Hein Maryse, c’est quoi ?

Et bien Pierre, tout d’abord, la première étape est de disposer d’un passe Navigo© acheté chez votre boutique RATP préférée (ou des tickets T, au choix, un carnet de 10 mini).
Le matin, vous vous habillez léger quand vous partez de chez vous, un petit Ticheurte, des tongs les jours de grand soleil, je vous laisse le choix du pantalon ou de la jupette.

Votre passe Navigo en main, dirigez vous vers la station du T2 la plus proche (ligne du tramway pour les gens de province, c’est à dire à partir de la zone 5) aux environs du lever du soleil soit 8h15. Oui, dans mon monde, le soleil se lève en même temps que moi, on appelle ça le Kwaite-centrisme (Galilée a menti, heureusement que l’église s’en est rendue compte à temps; en plus, la barbe c’est trop pas mode).

C’est là que votre régime va réellement commencer. Sans climatisation (elle n’est mise en marche que plus tard dans la journée), votre corps va lutter de toutes ses forces matinales (ça fait mal) pour pouvoir baisser sa température. De plus, les arrêts et diverses reprises brusques feront fonctionner vos muscles afin de ne pas tomber (héhé). Vous transpirerez comme un bœuf tout en allant au travail, ce qui vous permet de gagner le prix d’un abonnement à une salle de gym et de vous libérer du temps pour faire le ménage chez vous le soir ou regarder ‘l’Amour est dans le Pré’
Pour parfaire votre corps d’athlète, vous pouvez aussi vous dandiner/contorsionner pour éviter l’haleine fétide du voisin et/ou la queue de cheval de la voisine. Effets abdos béton garanti !

Attention, à partir de plus de 8 stations consécutives, des risques de malaise ou de déshydratation peuvent apparaître.

Finissez par quelques stations de RER A (voir T2 ci dessus pour la province, c’est pareil sauf qu’à la place d’un gros bus, c’est un gros train, un peu comme les vieilles michelines) en prenant soin d’éviter les personnes ayant un éventail. Les arrêts sont encore plus violents donc, par conséquent, si vous êtes joueur et que vous ne disposez pas de WiiFit chez vous, cela vous permettra de travailler aussi votre équilibre.

Attention, tout de même à éviter de rester trop longtemps sur le quai pendant vos correspondances. Vous risqueriez d’y prendre un coup de froid.

Vos collègues de travail, à votre arrivée, ne manqueront pas de vous féliciter. Vous rayonnerez le bonheur d’avoir un corps de rêve.
Ah, en fait, la régie me souffle que, non. En fait, vous puerez la transpiration, vous serez trempé comme vos voisins empruntant le même trajet que vous.

Mais ce n’est pas grave. Le plus important, c’est que grâce au régime Navigo©, vous aurez enfin le corps dont vous rêviez.

Heart of glass

La petite discussion du lundi matin post-café

Moi: « J’ai plus de news de mon Philippe, je crois que c’est cuit »

SatanaS: « Mince qu’est ce qu’il a pu arriver pour que tu n’aies plus de nouvelles, il est malade [ s’en suit plusieurs  autres hypothèses] »

Moi: « Il doit être mort »

SatanaS: « Quand même pas! »

Moi: « C’est le plus plausible vu comment je suis extraordinaire, je vois pas d’autre explication »

SatanaS: « Effectivement »

Chaleur, chaleur, chaleur

Bon, ce n’est pas parce que je transpire comme un gnou à longueur de temps en ce moment que je me laisse abattre.

Je sais pas, j’ai la patate en ce moment et je me sens heureux alors que rien n’a beaucoup changé dans ma vie de tous les jours…

Alors hier, j’ai repris la guitare et l’orgue, à cela j’ai ajouté ce soir des pilates et quelques mangas à la téloche… La guitare pour pas faire honte à Ma Couille quand on fera notre extraordinaire duo / L’orgue parce que j’ai envie de messe en ce moment (ça me prend des fois toutes les 3.14 nouvelles lunes quand Mars est en conjonction avec Saturne) / Les mangas parce que c’est quand même hachement bien / Les pilates, ben , quitte à être un gnou humide, autant que ce soit voulu, et je me dis que si je fais transpirer mon corps, il en aura peut être plus du tout de la transpi  pour me pourrir la vie dans le métro et le train. Je sais, essayer de feinter son corps, c’est jamais efficace mais bon.

Et bien sûr ce blog… jamais bien loin – sauf quand il se fait pseudo-hacker par un jeune freluquet –

Si vous êtes sages, demain je vous fait profiter des compositions de ma sœur, vu qu’en ce moment, elle me fait du « 1 jour = 1 chanson » par SMS ce qui m’a fait glousser cet après midi au bureau !

P’t’ête même qu’un jour, je vous ferai profiter de toutes les photos que je garde planquées sur mon APN.

Rô mais j’ai des activités au moins jusqu’en 2049 là… Pfiou, de la balle !

Allez, je bois ma camomille et je file au lit (seul, rassure toi, lecteur adulant mon corps de rêve et ma mémoire fulgurante)

Et de trois…

Ce week-end, je suis rentré chez mes parents en Haute Marne. Je l’avoue, depuis que j’habite tout seul, je rentre quand même vachement plus souvent les voir… Allez savoir …

Donc, le but de ce week-end était d’arriver juste à temps pour voir Sœur d’Amour à la maternité vu que j’avais loupé les deux premiers.

Ca commence mal, très mal même, vu que c’est elle qui est venue me chercher à la gare avec mes extraordinaires neveux (ce qui fait que je lui ai vite pardonné de ne pas être en salle d’accouchement les 4 fers en l’air en train de haleter – clichés, quand vous nous tenez). Le soir ne voyant pas d’enfant arriver, je commence à être au comble du désespoir, pensant que le futur enfant me ferait déjà une blague en arrivant une heure après mon départ le dimanche suivant. Je commence à échafauder des techniques calendaires subtiles avec ma mère (si je pose là et que je rentre, pê que ça va marcher? Ah non, là, ce jour là, c’est nouvelle lune, c’est pas possible…). Un grand n’importe quoi.

Vendredi, rien. Comme la sœur Anne, je ne vois que l’herbe qui verdoie et la poutre qui poutrelle (mouais…). La mega-shame de ma vie quoi.

23h, le téléphone sonne alors que je ne trouvais rien de comestible à la TV et que je me prenais une branlée à Globulation. « T’es réveillé? » / « Ben ouai » / « Tu peux monter à Buxières ? » / « J’arrive ». NDLR: Buxières, c’est la village que ma soeur est en train de repeupler.

J’enfourche mon tricycle pique la voiture des parents et monte faire la nounou d’enfer en priant que ce soir là, ma soeur accouche. Je ne dors pas de la nuit ou prou. Ben voui, quand je nounoutte (?) mes neveux, j’ai toujours peur qu’un crocodile sorte de sous le lit et nous kidnappe pour nous donner au bonhomme à sac. 4h30 texto « Marie est née ». Je ne me fais pas pipi de joie dessus vu que je dors dans le lit de ma soeur… mais quand même… La mission est réussie !

5h: Paul appelle sa mère. « C’est Tonton, qu’est ce qu’il y a mon lapin? » / « Tu peux mettre la musique Tonton? » / « Euh oui » Le temps que je trouve où c’est parce que bon, il est 5h et même si je dors pas, je suis en vrac et dans le noir. / « C’est bon Tonton, y’a pas besoin ». Dépité, puisqu’il s’est rendormi dans la foulée, je retourne au lit. Que d’abnégation quand même pour satisfaire un enfant de 2 ans.

7h: Paul se lève, son oreiller à la main (doudou très pratique),  et vient avec moi à la place de son père dans le lit et commence à bavasser. Oui, les enfants à cet âge sont en forme eux, quand ils se lèvent, même pas le cheveu de travers, rien. « Ben tu sais Tonton, je t’ai demandé de mettre la grosse musique pour avoir de la lumière parce que je voyais rien ». Le raisonnement se tient puisqu’il fait noir la nuit, logique imparable. « Et puis moi, j’aime bien prendre la place de papa quand il est pas là » et j’en passe et des meilleures.

7h10: Louis commence à s’agiter. Paul: « On se lève Tonton, il faut aller lever Louis ». Pas de répis pour les braves qu’on dit hein… Parce que moi, je suis pas une mère super entraînée (là, je vais me faire huer), je suis un patachon qui fait des grasses mat’ et n’a qu’un but dans sa vie: acheter un transat pour bronzer sur son balcon. Je lève donc Louis qui lui, au moins a le cheveu fou du matin et des petits yeux. Je prépare les biberons (Louis n’a qu’un an et demi et des brouettes). Paul se cale sur son oreiller au creux d’un fauteuil et Louis, en tant que président de mon fan club, se cale sur moi (Le premier qui veut prendre un biberon sur mes genoux pour voir comment ç e fait, je le claque sauf si c’est mes neveux ou nièce)

Le reste du WE sera moins traumatisant. Belote endiablée samedi soir, et nounouttage encore un peu mais sur ce qui a trait au soir, je gère mieux (couches, bain et manger, là, je suis au top, enfin presque, j’ai perdu en couches, va falloir que je fasse une remise à niveau bientôt)

Petit détour par la maternité pour voir l’heureuse maman et la petite. Des bisoux, des photos, des vidéos et retour à la maison…

Les photos viendront bientôt quand j’aurai récupéré suffisamment de sommeil donc genre lundi…

A noter: ma soeur ne voulait pas connaître le sexe de son futur enfant. Vous avez donc échappé aux palabres autour du calendrier LaPoste et les phases lunaires pour savoir quel serait le sexe et la date. Ce qui est bizarre, c’est que quand tu annonces  que c’est une fille, tout le monde te répond qu’il le savait. Nous pouvons déduire de cette expérience que l’être humain de Haute Marne possède des yeux bioniques capables de faire une échographie à distance.

Et bien sûr le dicton de circonstance. Vu que ma sœur a accouché un ou deux jours après le terme présumé –> « Une fille se fait attendre ». Oui, parce que la fille, dans le ventre de sa mère, sort son blush, son mascara, son fard et son gloss et se fait belle pour sortir et comme elle est toute petite et pas encore entraînée, ben ça prend du temps. Parait que c’est comme ça. Moi je sais pas, SatanaS veut pas me prêter ses ovaires, alors je prend ça pour argent comptant comme je pourrais jamais en faire l’expérience moi même…

Aujourd’hui, elles sont sorties de la maternité. Les deux frères en sont babas, Louis lui a filé un nounours, Paul lui fait des bisoux, c’est la fête quoi…